Les Ancêtres (1973-1975)
Peintures
« J’ai connu Rozen à l’abbaye de Royaumont, voici une dizaine d’années. À cette époque, il s’exprimait d’une façon très réaliste, en adolescent qui ne craint pas d’ouvrir les portes. [Aujourd’hui, à] 36 ans, il ne sait pas encore où il va, mais il sait qu’il s’est emparé de la vie et qu’il peut en disposer à la façon d’un semeur dans les champs multiples de l’expression (…). »
Pierre Béarn, poète, texte pour l’exposition ROZEN à la Galerie Simone Badinier, 1974.
Rozen « un peintre qui ose mettre de lui-même dans sa peinture, qui ne craint pas de la charger de sentiment, de passion, d’amour, d’angoisse, de douleur, de rêve. »
Gilles Plazy, « Rozen et la liberté », Le Quotidien de Paris, juin 1975.
« J’ai connu Rozen à l’abbaye de Royaumont, voici une dizaine d’années. À cette époque, il s’exprimait d’une façon très réaliste, en adolescent qui ne craint…
« J’ai connu Rozen à l’abbaye de Royaumont, voici une dizaine d’années. À cette époque, il s’exprimait d’une façon très réaliste, en adolescent qui ne craint pas d’ouvrir les portes. [Aujourd’hui, à] 36 ans, il ne sait pas encore où il va, mais il sait qu’il s’est emparé de la vie et qu’il peut en disposer à la façon d’un semeur dans les champs multiples de l’expression (…). »
Pierre Béarn, poète, texte pour l’exposition ROZEN à la Galerie Simone Badinier, 1974.
Rozen « un peintre qui ose mettre de lui-même dans sa peinture, qui ne craint pas de la charger de sentiment, de passion, d’amour, d’angoisse, de douleur, de rêve. »
Gilles Plazy, « Rozen et la liberté », Le Quotidien de Paris, juin 1975.