Lettres à Paul Klee (2003-2006)
Peintures
« Cette peinture s’écoute. Elle se fait l’écho de toute une expérience de vie, non pour oublier la perte de parents mélomanes ou celle d’un frère aîné, tué sur le front biélorusse et toutes les vicissitudes d’une jeunesse mouvementée entre Russie et Pologne dans le climat de troubles politiques et religieux, mais pour construire, dès l’arrivée à Paris en 1966 un avenir basé sur les dons et le travail. Comme le fait remarquer Marcelin Pleynet, l’œuvre, chez Rozen, n’est plus frontale, ni même tridimensionnelle : elle se situe dans son rapport à la musique, dans un mouvement ou plutôt une animation interne qui l’institue dans un “devenir encadré” ».
Jean-François Jaeger, catalogue de l’exposition « Lettres à Paul Klee (25 peintures sur papier japon) », à la Galerie Jeanne Bucher, en 2006.
« Cette peinture s’écoute. Elle se fait l’écho de toute une expérience de vie, non pour oublier la perte de parents mélomanes ou celle d’un frère…
« Cette peinture s’écoute. Elle se fait l’écho de toute une expérience de vie, non pour oublier la perte de parents mélomanes ou celle d’un frère aîné, tué sur le front biélorusse et toutes les vicissitudes d’une jeunesse mouvementée entre Russie et Pologne dans le climat de troubles politiques et religieux, mais pour construire, dès l’arrivée à Paris en 1966 un avenir basé sur les dons et le travail. Comme le fait remarquer Marcelin Pleynet, l’œuvre, chez Rozen, n’est plus frontale, ni même tridimensionnelle : elle se situe dans son rapport à la musique, dans un mouvement ou plutôt une animation interne qui l’institue dans un “devenir encadré” ».
Jean-François Jaeger, catalogue de l’exposition « Lettres à Paul Klee (25 peintures sur papier japon) », à la Galerie Jeanne Bucher, en 2006.