Pyrocera (1993-2000)
Peintures
« Félix Rozen se pose en ethnologue spécialisé dans les civilisations qui n’ont jamais existé »,
écrit Hélène Saint-Riquier dans Ouest-France, en 2004, à l’occasion d’une exposition personnelle de Rozen, au Palais des Congrès et de la Culture du Mans.
« Pour donner un langage possible à l’indéchiffrable, pour inscrire l’écho le plus infime dans l’immense partition du monde, Félix Rozen s’est toujours livré aux expérimentations les plus diverses, la plus emblématique – baptisée par lui gravure ou peinture pyrocera – présentant une alliance inédite des techniques et des matières : de la gravure sur métal à l’usage de la cire, soumise pour la touche finale à la flamme d’un chalumeau. Du choc espéré de contrastes universels, le froid et le chaud, le dur et le malléable, une œuvre naît entre les mains d’un artiste prêt, pour la faire exister, à aller jusqu’à la brûlure. »
Nicole Ambourg, Conservatrice à la documentation du Musée des Années 30, en marge de l’exposition « Jean Lambert-Rucki et Félix Rozen, L’expressionnisme entre figuration et abstraction », fin 2004-début 2005.
Pour Félix Rozen
Le soleil
ne sait
pas
que la nuit
va
répondre
mais les peintres
ont des réponses
de soleilsPierre Béarn
« Félix Rozen se pose en ethnologue spécialisé dans les civilisations qui n’ont jamais existé », écrit Hélène Saint-Riquier dans Ouest-France, en 2004, à l’occasion d’une exposition…
« Félix Rozen se pose en ethnologue spécialisé dans les civilisations qui n’ont jamais existé »,
écrit Hélène Saint-Riquier dans Ouest-France, en 2004, à l’occasion d’une exposition personnelle de Rozen, au Palais des Congrès et de la Culture du Mans.
« Pour donner un langage possible à l’indéchiffrable, pour inscrire l’écho le plus infime dans l’immense partition du monde, Félix Rozen s’est toujours livré aux expérimentations les plus diverses, la plus emblématique – baptisée par lui gravure ou peinture pyrocera – présentant une alliance inédite des techniques et des matières : de la gravure sur métal à l’usage de la cire, soumise pour la touche finale à la flamme d’un chalumeau. Du choc espéré de contrastes universels, le froid et le chaud, le dur et le malléable, une œuvre naît entre les mains d’un artiste prêt, pour la faire exister, à aller jusqu’à la brûlure. »
Nicole Ambourg, Conservatrice à la documentation du Musée des Années 30, en marge de l’exposition « Jean Lambert-Rucki et Félix Rozen, L’expressionnisme entre figuration et abstraction », fin 2004-début 2005.
Pour Félix Rozen
Le soleil
ne sait
pas
que la nuit
va
répondre
mais les peintres
ont des réponses
de soleilsPierre Béarn