Comme il l’a raconté à l’occasion de son exposition « Portraits photographiques et imaginaires », au Centre d’Art Contemporain « L’entrepôt », à Uzès, en 2001 : c’est à la disparition de son frère, Karl [en 1944] que Félix Rozen trouve « un autre regard sur la vie et la mort ». Il hérite de son appareil (copie de Leica) et s’inscrit vers l’âge de 12 ans à l’atelier-photo de son école.
Il a 24 ans lorsqu’il saisit cette Pologne du début des années 60.