« Ces dessins (…) nous donnent à voir de véritables pages d’écriture souplement construites, rangées de signes mystérieux et interrogateurs » rapporte Robert Aribaut dans La Gazette des Tribunaux, en mars 1977, à l’occasion de l’exposition « Peintures et dessins de Félix Rozen » à la Galerie Orsini.
Quand au milieu des années 70, Alex Liberman, directeur artistique du magazine Vogue, lui propose de présenter son travail à un ami qui dirige l’un des départements du MoMa de New York, Félix Rozen réalise plus de 600 dessins dans des carnets. Il n’en conservera que 60.